Sunday, November 06, 2005

Est-ce que tu te touches?

Il y a deux semaines.
Lyon, ou plutot Villeurbanne.
Espace Double Mixte.
Une petite convention. Le monde du jouet que ça s'appelait. Ou du jeu. Je sais même plus, tellement c'était nul.
ENFIN bref, au milieu de cette convention minable, euh pardon, provinciale s'en cachait une autre: le japan touch.
Je ne sais pas de quelle touche japonaise il s'agissait, mais certainement pas de la populace. Ca ressemblait plus à une campagne bien de chez nous qu'à une convention d'animation en plein Tokyo.
Toujours est-il qu'au milieu de tout ça, des tournois de jeux vidéos: DDR, PES et surtout des jeux de combats (et accessoirement, Naruto. faut bien faire plaisir aux gosses)
Et parmis tout ces tournois, CVS2.
Après des poules assez mouvementés (plein de monde a vu mon deuxième perso, la honte) je bourrine un inconnu en quart de finale (dont je ne me souviens même plus du nom) puis bute mon disciple Toishiro en demi-finale (enfin, disciple, si il ne fait pas rapidement des progrès pour quitter son statut de sac, la porte du dojo va lui être définitivement claquée au nez)
Et là, la finale sur grand écran, devant public et tout et tout.
La classe...
Jsors mon stick, jme pose à côté du Bro.
Un premier match ultra moche, bas lk bas lp bas mk la manip de la furie au moment où le kgroove se vide. Jme fait presque striker, mais pour l'honneur mon blanka bute ses deux premiers persos et entame bien le troisième.

Deuxième match, plantage de la console.
C'était trop moche, qu'elle a l'air de me dire. Ressaisis-toi.

Alors moi, tu vois, jsuis comme ça. Jfais toujours ce que me demande les dames.
Et jlui colle un strike ultra bourrin avec mon sagat. Il applaudit tellement il est deg de s'être fait bourriner comme ça. Et moi je jubile en tripotant mon stick façon "nan mais attends, t'as rien vu. attends le dernier match"

Et là, dernier match. Je gagne. Logique.
Et j'affirme définitivement mon statut de meilleur joueur de cvs 2 du sud de la france.
La méga classe.

Prochaine étape: aller bourrer ces sacs de parisiens.

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